GNIOUKS ET COCOTTES ... COCHONOUX EN SOMME

Je n’ai pas encore vraiment parlé de nos bêtes-à-poils qui partagent notre vie (et accessoirement notre ridicule appart’).

Par ordre d’arrivée, nous avons donc :

• Dübichü, de son nom, dit Tchoutchou Namouk de son surnom (allez savoir pourquoi …) :
  

Premier gniouk à nous avoir accompagné. On l’a eu tout petiminirikiki, il tenait dans le creux de la main. C’est avec lui que j’ai appris à apprivoiser une petite bête, et qu’est ce que j’ai aimé ça ! Exceptionnel ce Tchoutchou : friand de légumes mais ne pas sortir de l’ordinaire carottes-persil-endives-pommes, gros câlins à tout bout de champs avec lui, léchouille à longueur de câlins aussi … Un gros zamour, très pépère.

• Martin, de son nom, dit Matin Matin ou Tintin de son(ses) surnom(s).

Deuxième gniouk, compagnon de Tchoutchou. Un gros poilu qui nous a fait tant rire ! Très expressif ce petit père, réclamant sans cesse à manger (même la nuit à 3h du mat’ quand il était déréglé), adorant la vadrouille. Moins câlin que Tchoutchou avec nous mais très joueur.

A eux deux, ils formaient un vrai ptit couple : Tchoutchou complètement amoureux de Martin (il en a perdu ses coucougnettes). Une vraie paire de gniouks, à croquer.

Martin était un peu poisseux côté santé : coryza chronique dès l’adoption, abcès à la joue (opéré avec succès), blessure à la patte (garrot avec un cheveux quand même !!!) … et puis abcès à la coucougnette qui a empiré ses problèmes respiratoires … Après 3 ans de vie avec nous et son coupin Tchoutchou, Martin nous a quitté un samedi matin de novembre 2005. Tu nous manques notre gros poilu !

Tchoutchou s’est donc retrouvé tout seul, lui qui était fou amoureux de son coupin de cage. Après quelques hésitations, nous avons craqué pour une coupine : Kalüa.

Ptite cocotte très sauvage au départ, Kalüa a été choyé par son coupin Tchoutchou. Après plusieurs semaines d’apprivoisement, elle est devenue câline elle aussi. Un peu plus aventurière que Tchoutchou, il était assez marrant de le voir la suivre à travers l’appart’, lui qui était si trouillard !!! Quelle équipe !

Jusqu’à ce que Tchoutchou ait des problèmes de dents et qu’il refuse de manger. Malgré les traitements du Véto et les soins et l’amour apportés, Tchoutchou s’est laissé partir une nuit du samedi au dimanche de février 2006. Tu nous manque plein plein !

Kalüa étant issu d’un élevage, elle n’était pas faite pour vivre toute seule …

Nous avons alors craqué sur deux cocottes (oui deux !) :

Babette, de son nom, dite Baboune, de son surnom

et Gribouille

Nous voilà donc désormais accompagnés de ces 3 cocottes. Kalüa est la plus trouillarde, la moins aventurière mais la plus câline. Gribouille est la plus curieuse, notamment pour venir chercher les papouilles. Baboune est un vrai butor : tout ce qui est sur son chemin trépasse (elle descend du lit tout de même).

A elles trois, elles forment une sacrée troupe : copines pour les câlins (vive le léchouillage d’oreilles ! qui se transforme parfois en tirage d’oreilles certes …), pour les aventures (balade dans l’appart’, dans le « labyrinthe » de tuyaux, 24h-du-Mans dans la cage …) et la ronflette (vive les hamac parties !).

CE SOIR ...

... C'EST LE GRAND SOIR !

CA Y EST

Elles sont bientôt à moi ...

EDIT du 12 juillet :
Elles sont arrivées hier, à mes pieds dès ce matin ... Que du bonheur !!!

LES REUNIONS

Aujourd’hui, je participais à une réunion pour mon stage. Au cours de celle-ci, je me suis surprise à penser qu’un jour (prochainement), ce sera moi qui sera là à présenter mes résultats, qui sera invitée ou peut-être même qui organisera une telle réunion … Et pourtant, j’ai horreur de m’exprimer en public, de me faire remarquer, que les regards s’appuient sur moi … Mais là, je me suis dit que ça me plairait un jour de faire partie d’un comité ou autre commission et de participer à de telles réunions professionnelles : le plaisir de se côtoyer entre différentes disciplines, de s’intéresser aux travaux des autres et de voir que les autres portant de l’intérêt à ce qu’on présente. Toujours est-il que je déteste parler en public et que je ne voudrais pas faire ça tous les quatre matins, mais ponctuellement je pense que ça doit être très intéressant et très constructif.

PAS TROUVE DE TITRE

Je suis actuellement en stage. Un stage qui me plait (c’est déjà ça) même s’il y a des « mais » …

Tout d’abord, je n’aime pas particulièrement faire 2h30 de route par jour pour m’y rendre. Certes, je m’y suis faite mais c’est loin d’être agréable. Notamment quand la pluie s’en mêle et qu’elle ne daigne pas s’en aller de notre chère région …

Dans l’ensemble, ça se passe bien. Malgré un directeur assez bizarre. D’ailleurs, il part fin septembre : super, je suis en stage là-bas parce que ma très chère université ne voulait pas perdre sa belle image devant lui, finalement c’est lui qui s’en va …

J’ai hâte que ça se termine (J-23) même si je sais que ça va être autre chose après : rapport de stage, recherche d’emploi si toujours pas trouvé, déménagement, soutenance … Une autre paire de manche quoi !

Pour le moment, je suis dans mes ptites études stats, j’aime bien mais bon, j’ai tendance à refaire 10 000 fois les mêmes choses. Heureusement, mon très cher tuteur, très choup’choup’, est là, a plein d’idées et connaît pas mal de techniques stats. Ouf !

Et puis, bon, là-bas, ils sont gentils, c’est juste le directeur qui est lourd et stressant. On va dire qu’il est très peu là : en même temps, en n’arrivant pas avant 10h pour repartir à 12h30 et en ne revenant pas avant 15h-15h30 pour partir vers 18h-18h30 et en ne travaillant pas le vendredi, forcément les journées et les semaines sont courtes. Du coup, il arrive tout speed et enquiquine tout le monde. Il a tendance à dire en premier que tout est nul, pour s’adoucir et en finir avec un « c’est bien ». Bref, un personnage … En ajoutant à cela qu’il arrive dès le matin avec des auréoles de la taille d’une main sous les bras, ça fait un beau portrait. Etrangement, tout le monde est content qu’il s’en aille, tout le monde a hâte : ça ne m’étonne même pas !

???

A force de lire de chouettes blogs, je me dis que ça serait bien que je me remue un peu. Ce n’est pas l’envie qui manque, c’est plus le fait de ne pas trop savoir par où commencer, que raconter …

Alors il faut commencer par quelque chose … mais par quoi ???