EñVîE dE ÞÁÞØtE®

samedi 23 mai 2009

FAISONS UN RÊVE


Le 4 avril, sortie à Paris organisée par le CE.

Sortie qui commença à 10h avec RdV sur le parking pour partir en bus direction Paris. Deux choses que nous avons remarquées : le bus c’est bien, on voit plein de choses, mais c’est long (90kms/h sur l’autoroute autant dire qu’on se traîne) ; les sorties du CE c’est bien, c’est pas cher, mais c’est vieux (les bouseux à la ville en somme).

Toujours est-il qu’une fois sur place, nous pouvions (enfin) nous évader de ce troupeau pour vagabonder à notre aise dans Paris. Accompagnés de notre coupine de la plongée Sandrine, on est partis en direction des Champs-Elysées. En passant dans les beaux quartiers, j’ai été époustouflée de voir que certaines gens n’avaient pas du tout les mêmes valeurs que nous : Comment peut-on se payer une Rolex à 30 000 € ??? Comment peut-on se payer une nuit au Ritz ??? …

Et puis, pas moyen d’assister à cette expo sur Warhol (blindée de monde !), donc on a poursuivit notre route vers le Trocadéro où on a visité l’aquarium (joli mais petit) : alors là, visiter un aquarium avec Sandrine, c’est chouette ! Elle connaît plein de poissons que du coup t’as même pas besoin de lire les pancartes ! On est ensuite reparti du Trocadéro en direction du boulevard Haussmann en longeant les quais de Seine.

Sympathique aprem’, bien crevante avec tous ces kilomètres dans les pattes !

On a fini par se ressourcer chez un pakistanais et par finir par le but de notre virée parisienne : le théâtre !

On s’est donc rendus au Théâtre Edouard VII où se jouait la 200ème de « Faisons un rêve » avec … Pierre Arditi ! Oui d’accord, il y avait aussi Clotilde Couraud et Martin Lamotte … Mais Pierre Arditi !

Du pur bonheur que d’entendre cette voix qui emplit tout l’espace, de voir ce jeu de scène si impressionnant … même si on s’est aperçu après quelques minutes que, comme une bonne partie de nos « collègues de sortie », nous avions déjà vu cette pièce à la TV !

Mais aucun regret, ça n’a rien à voir !

L’ambiance : ce théâtre feutré de velours rouge avec ses moulures à l’ancienne, ce comédien qui, du haut de ses 64 ans, est si impressionnant de par sa prestance … Que du bonheur !

J’ai d’ailleurs eu du mal à m’en remettre, de Pierre … :P


DESCENTE DU LOIR

Le 8 mars, nous avons décidé de réitérer notre exploit du 22 février. Nous nous sommes donc lancé dans 8kms de « descente » de Loir, autant dire de plat car pas de courant du tout du tout du tout du tout du tout du tout du tout du tout du tout du tout du tout. Heureusement que Doudou a nagé à mon rythme, sinon ça aurait été encore plus dur ! 2h pour faire 8 kms, c’est clair qu’on est très très loin de la performance !

Mais bon, malgré ces deux heures de galère (qui à vrai dire m’ont semblé en être 4), il faut admettre que c’est un parcours vraiment joli, avec ses petits bords de Loir sympathique bordés de jardins, maisonnettes et villas, avec ses ptits canards, et puis son soleil radieux …

WE REMOIS

Après tout ce temps, nous sommes enfin remonté sur Reims.

Départ le vendredi pour arriver chez ma siouper-coupine Christelle et son chéri Thomas. Sympathique soirée, pleine de blablabla, qui nous a permis de profiter de ma siouper-coupine avant son départ pour la brousse en humanitaire. ^^

Le samedi midi, pas très loin, direction chez Anthony, le siouper-coupin de Doudou et sa future-femme-dans-une-semaine-et-demie Karène avec leur ptit bouchon Jules. Petite balade rémoise avec le nouveau Papa et le ptit bouchon, blablabla fort sympathique aussi. ^^

Le samedi soir, un peu plus haut/bas, nous voilà partis pour Vitry-le-François, enfin pas très loin, dans un patelin, pour enfin revoir ma coupine « Charlin » et son chéri Aurélien, qui seront bientôt 3. Beaucoup beaucoup de blablabla, comme si on s’était vu la veille. Là, on s’est dit que ça c’était chouette. ^^

Enfin, le dimanche, dans le même coin, direction chez les parents de Médhi, coupin de Doudou qui a été bien content qu’on se pointe enfin après tout ce temps, et qui en plus a eu l’honneur de notre présence le jour de son anni !

mercredi 20 mai 2009

DESCENTE DE LA LOIRE

Le 22 février, nous nous sommes lancés, courageusement, à l’assaut des 10 kms qui nous séparaient de l’arrivée.


Après s’être affublés d’une tenue on ne peu plus séduisante,
















après avoir chaussé nos palmes,



nous y sommes allés.














Une eau à 5°C.
Un courant un peu coopératif mais pas autant que prévu.

Doudou est parti devant avec Bruno. Avec Mélanie, nous les suivions d’un peu plus loin (enfin on a fini les 10 kms et doublé la 129 alors objectifs remplis). Et Pauline a bouclé le parcours.

Arrivée au bout de 1h18min28s pour Doudou (3e senior hommes avec appui ! sur 3 !) et 1h22min50s pour Doudouce ( 4e senior femme avec appui sur 6).


L’exhaustivité des photos, c’est là -> @

LA CHAMBRE D'ALICE

Justement, en parlant de ce lapin blanc ... Ma chambre d’ « Alice aux Pays des Merveilles » est ENFIN arrivée … Et ce n’est pas sans mal !

Round 1 : Tenter de commander les meubles en magasin -> Echec. Roue de secours : Internet.

Round 2 : Attendre 1 mois avant la livraison. Début des péripéties … Réception des tables de chevet, pas de commode en vue.

Round 3 : Livraison-le-retour, attente du transporteur pendant plus d’une heure : camion dépourvu de commode -> déception et là ça commence à faire …

Round 4 : Attente de la livraison-le-retour-encore-que-y’en-a-marre, appel du transporteur : « non non Madame, livraison prévue entre 15h et 17h, pas entre 11h30 et 12h30 » :@. Finalement, délestage de la commode en boutique pour pouvoir aller le chercher à mon heure.

Bilan : 3h de perdue, sur du temps de travail, à attendre une hypothétique livraison : j’aurais mieux fait de commander mes meubles ailleurs ... mais c'était ceux-là ou rien !

Toujours est-il que je vis mes chez Alice depuis …

RETROSPECTIVE



En ce moment, je suis comme ce fameux petit lapin blanc tant réputé pour son retard ...
Rétrospective donc (et y'a du boulot ...)

mardi 17 février 2009

PAPY

Il s’est éteint le jour de ses 78 ans. Moi qui étais incapable de retenir son âge … Désormais, celui-ci est à jamais figé dans le temps, il ne grandira plus jamais.
J’aurais aimé, de son vivant, que l’on ait plus de choses à se dire, mais on parlait plus souvent de la pluie et du beau temps. Néanmoins, on savait qu’il appréciait beaucoup nos visites, qu’il les attendait, même si elles étaient peu fréquentes de par la distance qui nous séparait. Mais il nous en était reconnaissant, de venir lui rendre visite et de lui consacrer un peu de notre temps à chacun de nos week-ends carolos.
Il a beaucoup souffert durant sa vie et nous le savions, mais il est parti sereinement, sans douleur, en fermant les yeux et s’endormant, en ayant pris le soin d’attendre que ses enfants soient là pour l’entourer et l’accompagner dans son dernier voyage.
Je m’étais souvent « préparée » à la perte d’un de mes aïeuls, mais jamais je n’avais imaginé à quel point cela pouvait être douloureux. Il est le premier que je vois partir, étant trop jeune pour réaliser vraiment la disparition de ceux qui l’ont précédé.
Je n’ai pas supporté que Maman évoque le choix de son cercueil, des fleurs et autres choses auxquelles il faut penser si rapidement, trop rapidement. Mais je n’en ai rien dit, car je sais que c’est encore plus difficile pour elle, Tatie et Tonton que pour moi.
Mais je ne suis pas parvenue à paraître jusqu’au bout. Je n’ai pas cessé de m’imaginer comment il pouvait être dans cette chambre si glaciale dans laquelle je ne suis pas entrée. Je ne parviens pas à chasser de ma mémoire les images de son enterrement, les jolies paroles que Maman a prononcé à son égard. Je ne suis pas parvenue à accepter de le laisser là, tout seul, dans le froid enneigé.
Le temps passe doucement depuis ce tout dernier samedi de janvier où il s’est éteint et je ne parviens pas à penser que je me ferai à l’idée de ne plus jamais le voir …

jeudi 1 janvier 2009

2009


MEILLEURS VOEUX A TOUS POUR CETTE NOUVELLE ANNEE !!!

lundi 29 décembre 2008

NOËL & POLLY

Alors Noël, chez nous, ça a eu lieu le WE du 21 décembre, à Charleville.

Petit résumé :

De retour à Charleville le vendredi soir, direction La Péniche (qui en vrai ne porte pas ce nom là mais en fait on ne sait pas comment ça s'appelle en vrai) pour boire un coup entre coupins et coupines. Soirée sympa remplie de blabla et de rigoulitude. ^^
Couchés pas trop tard, car sortant d'état grippal pour moi et angine en cours pour Doudou, on était un peu HS.

Le samedi, B.A. oblige, direction les ancêtres : papy en premier, mamy ensuite. Rien de bien passionnant mais ils sont contents, c'est l'essentiel. Ensuite, en route vers chez ma couzine : toujours aussi agréable de la revoir, elle et son chéri. Les filles n'étaient pas là mais ça n'est que partie remise ! Et pis, ma couzine, bah elle est folle : elle est arrivée dans le salon avec un cadeau pour nous. Un boîte de je ne sais trop quoi mais on s'attendait à tout sauf à ça. J'ai trouvé le paquet drôlement léger quand je l'ai attrappé, et quand je l'ai ouvert, j'étais bouche-bée : au fond de cette boîte, il ya avait un pitit cochon, tout miniriki, tout poilu, tout chouboudou !!! Comment ne pas craquer devant une telle boule de poils ?!? Nous sommes donc repartis chez mes parents avec notre nouvelle colocataire, que nous avons par la suite nommée Polly et dont voici la frimousse :


Nous sommes donc rentrés chez mes parents avec ce petit bouchon, que nous avons présenté à tout le monde puisqu'il était prévu que nous prenions l'apéro chez mes parents avec mes beaux-parents, mon beau-frère avec sa femme et leur fille et mon ptit beau-frère.
Nous avons donc joué le rôle du Papa Noël un peu précoce, en offrant des paniers garnis de produits de chez nous aux parents, beaux-parents et beau-frère, un jeu de DS pour le ptit beau-frère et une valise de véto pour notre nièce.
Quant à nous, nous avons reçu des sous pour s'acheter des vélos de ville, une parure de draps, des chocolats et des sous, Doudou a eu une chemise et un kéfier et moi j'ai eu du parfum et un sac.
Ensuite, en route pour le resto que nous avions réservé pour avoir un semblant de Noël cette année : La table d'Arthur. Un seul mot : EXCELLENT ! Nous avons vraiment très bien mangé et c'était très raffiné, aussi bien au niveau de la cuisine qu'au niveau de la présentation, pour un prix plus que raisonnable. La soirée a été bien agréable, même si parfois je préfèrerais me planquer dans un trou de souris face à certains comportements et certaines réactions.

Bref, après un bon dodo, on était déjà en train de préparer notre retour. Départ de Charlev' le dimanche en début d'aprem' pour arriver à Blois en soirée ...

dimanche 30 novembre 2008

LE KGB A PERDU SON G ...


Disparition de notre ptite Gribouille mercredi soir, après une journée complète chez le véto suite à un météorisme foudroyant ...

On t'aime notre nounouss' ...

Inconsolables donc depuis ...

Restent Babette & Kalüa, qui ont l'air de tenir le coup.


jeudi 6 novembre 2008

YES WE CAN (pour faire simple)

Pénélope résume très bien ce que certains d'entre nous peuvent ressentir en ce moment ... @

PENSEES FUGITIVES






Sur le chemin du retour en wature, toute poisseuse et toute puante, rentrant de l'aérobic, épuisée ... Musique relativement fort, je ne sais quelle chanson de La Rue Kétanou, groupe que je n'ai jamais écouté, mais me voilà partie dans mes pensées, nostalgie, dans le noir et le brouillard, avec juste la lueur des phares ...
Mes pensées se sont envolées vers ces personnes qui comptaient tant pour moi, et qui compte encore beaucoup pour certaines.
Vers cet ami revu il n'y a pas si longtemps que ça mais qui me manque déjà. Repenser à nos moments carolo puis rémois, à ces paroles touchantes qu'il peut dire, sans le vouloir peut-être mais en se rendant compte que ça fait du bien de les dire et de les entendre. Alors oui, ça me manque. Même si je sais que dès qu'on se revoit notre complicité revient au galop, là maintenant tout de suite ça me manque terriblement.
Vers ce soi-disant ami qui a disparu il y a plusieurs années déjà et qui a fait son come-back il y a quelques mois déjà. Ce n'est pas pour autant qu'on a repris là où on s'était arrêtés, la complicité et l'amour fraternel que nous nous portions n'a pas l'air d'avoir survécu. L'envie de tout renouer avec un gros nœud bien solide et de partir de l'avant dans une nouvelle amitié. Même si je suis persuadée que faire du neuf avec du vieux n'est pas l'idéal, mais envie d'essayer quand même. Mon exigence en amitié fait que ce que j'ai reçu jusque là ne m'a pas semblé assez à mes yeux. L'impression de lui avoir livré mes déceptions, mes rancunes, mes craintes, mes envies ... mais jamais de retour. Envie d'aller trop vite peut-être ...
Vers ma coupine en buvant mon jus de pamplemousse, parce qu'avant d'aller chez elle il ne m'était jamais venu à l'idée de boire ça, et que depuis j'en bois. Et que nos "Tu viens boire le café ? " ou "Apéro à la maison ce soir ?", ces petits rituels niortais me manquent.
Vers mes "collègues" niortaises de fitness de l'année dernière, parce que quand je suis toute transpirante le jeudi soir, je me dis qu'il y a un peu plus d'un an, ça se passait à au moins 5 avec covoiturage et rigolades en prime. Là, bah, nan ...
Vers cette fille qui m'intrigue tant de part son passé et que malgré ça, j'aurais bien envie de la connaître un peu mieux ...

lundi 27 octobre 2008

dimanche 12 octobre 2008

WE CAROLO MITIGE

De retour de notre week-end carolo, nous voilà de retour dans notre contrée.

Bilan positif après avoir déjeuné avec une coupine d'il y a longtemps, mais qui s'est révélée être fidèle à elle-même, toujours aussi fraîche, aussi gentille et c'est avec plaisir que nous avons passé ce moment avec elle et découvert la frimousse de sa fille, après avoir revu nos coupins carolos habituels, après avoir passé deux soirées en famille ...

Bilan négatif après s'être rendu compte que certains ne se sont pas arrangés ou même ont empiré du côté de leur caractère et de leur sociabilité, après avoir perçu des reproches dans les paroles des parents comme quoi c'est jamais assez long et qu'on n'est jamais assez à leur disposition, après avoir constaté que certains liens s'effilochent et que les relations qui en découlent se fragilisent dangereusement ...

Finalement, on en revient toujours au même : on en peut pas satisfaire tout le monde et ça ne va jamais, mais certains moments au cours de ces week-ends sont tellement bons que ça compense.

A LIRE

Pour les esprits ouverts et pour en ouvrir quelques uns ...